La rentrée des classes à l’ISSP est prévue pour le 18 novembre 2024. Comme à l’accoutumée au sein de l’institut, la direction, entourée du corps enseignant, du partenaire INSD et des responsables de la scolarité et de la DAOI, ont rencontré les étudiants des différentes filières de l’ISSP le 14 novembre 2024.

Il s’agissait des étudiants de niveau 1 (en Master en démographie, en Master professionnel en population et santé, en Licence en statistique sociale et des ingénieurs statisticiens-économistes) ; de niveau 2 (en Master en démographie, en Master professionnel en population et santé, en Licence professionnelle en analyse statistique et des ingénieurs statisticiens-économistes) ; de niveau 3 (en Licence professionnelle en analyse statistique et des ingénieurs statisticiens-économistes)

 L’objectif de cette rencontre était d’informer les étudiants, entre autres, des modalités d’inscriptions ainsi que de s’accorder sur les principes et bonnes pratiques en matière d’études à l’ISSP, en particulier, et à l’Université Joseph KI-ZERBO en général. Pour ce faire, quelques grandes lignes du guide des enseignements de l’Université Joseph KI-ZERBO ont été lues et expliquées aux étudiants, dont la note zéro pour toute absence à une évaluation.

Même les étudiants boursiers peuvent être dépossédés de leur « denrée rare » s’ils ne font pas preuve d’engagement dans le travail et, dans le pire des cas, reprennent une classe.

Résolument orienté vers une formation élitiste, la direction de l’ISSP a aussi vivement recommandé la discipline à ses étudiants afin de pouvoir atteindre ses objectifs. C’est pourquoi la directrice adjointe (Dr Madeleine Wayack-Pambè) a insisté sur les horaires de cours et la présence obligatoire aux différents travaux pratiques.

Quant au professeur Nicolas Méda, directeur, il a recommandé aux étudiants d’être notamment curieux, d’avoir une attention soutenue et un esprit critique, au besoin défier leurs enseignants, l’évolution technologique mondiale ayant permis de nos jours un accès facile au savoir. Pour créer un espace d’apprentissage approprié aux apprenants, il a promis d’actionner tous les leviers possibles pour assurer la réussite des étudiants. C’est pourquoi, comme innovation, il a promis d’instituer, sous forme d’ateliers, un enseignement sur la « méthodologie du travail universitaire » pour offrir aux étudiants (et même aux enseignants-chercheurs) l’opportunité de réussir dans une université. Bonne rentrée donc à tous !

 

Dans le cadre de l’étude PROMOTE « Efficacité des transferts monétaires conditionnels, des services de garde d'enfants subventionnés et de la formation aux aptitudes à la vie quotidienne sur la scolarité, la santé sexuelle et reproductive et la santé mentale des adolescentes mères au Burkina Faso », l'Institut Supérieur des Sciences de la Population (ISSP) lance un avis de recrutement de huit (08) candidates à former dans la perspective d’en sélectionner quatre (04) enquêtrices et une (01) vérificatrice des entretiens pour la collecte des données qualitatives dans la ville de Ouagadougou.

Lire appel

 

Le concours d’entrée en première année du cycle d’Ingénieur Statisticien Economiste (ISE), option Economie, est organisé par l’ISSP depuis la rentrée académique 2021-2022. Il s’agit d’un programme de formation inspiré de celui des ingénieurs statisticiens économistes (ISE) enseigné dans les écoles du Réseau des écoles de statistique africaines (RESA).

Le programme assure une formation pluridisciplinaire, caractérisée par des cours avancés, notamment en statistique, économétrie, modélisation économique, techniques de prévision. Plusieurs spécialisations sont proposées en fin cycle : Macroéconomie, statistique avancée et Big Data, actuariat.

Le concours est ouvert chaque année aux étudiants titulaires d’un diplôme d’ingénieur de travaux statistiques ou d’analyste statisticien, et aux étudiants titulaires d’une licence en économie.

Cette année, la première promotion des étudiants de l’ISSP en licence professionnelle en analyse statistique (LPAS), aujourd’hui en fin de cycle, ont pu prendre part à ce concours avec un record fort encourageant. Sur les dix (10) candidats admis en effet, cinq (5) sont de l’ISSP.

Bravo aux heureux admis et au corps enseignant !

 

Nommé il y a quelque un mois, le professeur Nicolas Méda a été officiellement installé dans ses fonctions de directeur de l’ISSP ce vendredi 25 octobre 2024, par le président de l’Université Joseph Ki-Zerbo, Pr Jean-François Kobiané.

Le Pr Nicolas Méda prend ainsi les rênes de l’ISSP qu’il devra diriger durant 3 ans, en tandem avec Dr Madeleine Wayack-Pambè, directrice adjointe, par ailleurs Maître de conférences en démographie à l’ISSP.

L’expérience de cet ancien directeur du Centre Muraz, ancien ministre de la santé et Conseillé à la Présidence du Faso devra lui permettre de tirer l’institut vers les sommets.

Professeur titulaire en santé publique, le nouveau directeur a certainement déjà fait un diagnostic de la maison, lui qui a déclaré placer son mandat sous le signe de la réconciliation, de la performance et de l’innovation.

Pour atteindre ses objectifs, il pourra compter sur l’engagement de l’ensemble de ses collaborateurs, notamment le personnel, l’ancienne direction et même le président de l’Université Joseph Ki-Zerbo, chacun lui ayant affirmé son soutien indéfectible.

Plein succès donc à la nouvelle équipe de direction !

 

Après l’atelier national de dissémination des résultats du round 10 organisé le 30 juillet 2024 à Ouagadougou, l’équipe de recherche du projet PMA s’est rendue à Bobo-Dioulasso, à la rencontre des professionnels de la santé au niveau régional.

 Cet atelier régional, comme celui national, avait pour objectif de partager avec les décideurs et les acteurs du monde de la santé, des données probantes actualisées sur la planification familiale, qui guideront les prises de décisions.

Dans les données diffusées dans la capitale économique, il ressort, entre autres, que le taux d’utilisation des méthodes contraceptives moderne des femmes en union, âgées de 15-49 ans, est de 28% au Burkina Faso ; ce qui constitue une baisse après des années consécutives de croissance.

Au cours de cette campagne de communication des données de PMA, l’équipe de l’ISSP a été accompagnée par son partenaire technique, JHPIEGO, ainsi que le ministère de la santé, représenté par la Directrice de la santé de la famille, Dr Valérie Marcella Zombré/Sanon. La rencontre a également bénéficié de l’accompagnement des autorités locales dont la Directrice régionale de la santé, Dr Yéri Silvie Youl / Traoré.

L’atelier régional de Bobo-Dioulasso s’est tenu au moment où le projet PMA prend fin, après dix (10) ans de collectes régulières d’indicateurs de santé ayant servi d’aide à la prise de décision en matière de santé de la reproduction au Burkina Faso. Il s’agit notamment de l’utilisation des données de PMA pour la fixation des cibles et le suivi des indicateurs de deux générations de plans nationaux de PF (PNAPF 2017-2020 et PNPF 2021-2025) ; l’utilisation des données de PMA pour la fixation des cibles dans les engagements du Burkina Faso dans le cadre de FP2030 ; l’utilisation de la prévalence contraceptive moderne mesurée par PMA comme niveau de référence dans le Plan national de développement économique et social (PNDES-II) du Burkina Faso ; la prise en compte des résultats de PMA dans les annuaires statistiques de santé de 2017 à 2022, ainsi que dans le rapport sur l’état de santé de la population 2019 du Burkina Faso ; etc.

Au regard de la pertinence de la plateforme PMA dans le dispositif sanitaire national, on comprend alors les préoccupations du Dr Georges Gueilla, investigateur principal de de PMA, lorsqu’il a fait le plaidoyer suivant : « …la subvention de la Fondation Bill et Melinda Gates arrive à termes en septembre 2024 et marquera la clôture de cette plateforme.  Ce 10ème round est donc le dernier. En l’absence d’autres sources de financement, la plateforme ne pourra donc plus collecter de données. Une telle situation créera une rupture dans la cadence de production des données et impactera sans doute le suivi des indicateurs clés qui se faisait annuellement avec les données de PMA depuis 2014.  C’est pourquoi je voudrais profiter de ces instants pour lancer un cri de cœur à tous les partenaires afin qu’ils usent de leurs attributions et pouvoirs pour faire un plaidoyer au plus haut niveau pour la poursuite de cette plateforme ».

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